vendredi 29 mai 2009

Valère NOVARINA, Devant la parole, p.22

Nous sommes traversés par eux, , nous allons dans l’espace qu’ils traversent ; nous les faisons passer par ici et nous sommes traversés par les logaèdres. Le sens -- c’est à dire la soif d’espace --passe par eux, émane d’eux par ondulations et par rayonnement contradictoire. Les mots émettent l’espace. Il y a une physique surnaturelle de la parole.

Tout le langage est négatif. Il y a une antimatière et on la voit.

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